J’aime déjà la distance, mais avec cette météo on est vite limité… merci à toi Christophe 
Hi !
Je reviens après une semaine de balade aux longs chemins au départ de Toulouse jusqu’à Bordeaux en 5 jours avec Gaëtan d’Angers. Ça a été une belle expérience nous permettant de tester de nouvelles limites, notamment concernant le chargement, un sac de 19,8 kg pour moi sur le dos et un chargement similaire pour Gaëtan reparti sur son dos mais aussi sur son mono avec des portes bagages artisanaux.
Nous avons utilisé les campings, pour moi en hamac et sous tente pour Gaëtan, sauf sur la dernière nuit qui se voulait menaçante du point de vu météo, où j’ai été invité à dormir sous la toile ! Quelle chance car il y a eu probablement quelques averses cette nuit là !
Nous nous projetions chaque jour pour faire entre 60 et 65km, c’était prévu comme cela dès le départ et nous nous y sommes tenus. Le deuxième jour fut pour moi le plus difficile avec le sac qui était un fardeau à porter, puis étonnamment le reste du séjour plus du tout ! Le 3 eme jour c’était un problème de frottement vis à vis de la selle qui était désagréable et rendait difficile la journée(sûrement un mauvais choix de tenue qui compte mais pas que), et les deux derniers jours, plus rien ! Trop cool ! L’avant dernier jour nous devions quitter le halage pour rejoindre 19km plus tard une autre voie verte, avec pas mal de dénivelés sur routes plutôt calmes, étonnement Gaëtan et moi avion une bonne forme et nous avons trouvé cela assez aisé malgré nos chargements, nous avons aussi éprouvé du contentement de casser la routine et la continuité du halage. L’approche de Bordeaux nous motivait sûrement énormément aussi.
Nous avons été heureux de laisser certains soir les sacs aux campings pour s’offrir quelques km à « vide » permettant de rouler plus sportif et plus vite pour changer un peu…
Nous avons quelques fois mangé aux restos et boulangeries mais peu, Gaëtan était bien organisé avec une gamelle et un réchaud pour cuisiner à l’état sauvage ou non assez facilement, nous n’avons manqué de rien et avons toujours eu de l’eau dans nos camelbacks.
Nos arrêts nocturnes ont été : Toulouse quartier nord à la descente du train-Moissac-saint Laurent/port Sainte Marie-La Réole- et pour finir Créon.
Nous terminons la semaine avec près de 350km en 5 jours et de bons souvenirs plein la tête.
Je joins quelques photos avec un tracé général du parcours, les points représentent les arrêts pour dormir.
Pour l’avant dernière journée, veille de départ par le train de Bordeaux Saint Jean tôt le matin, nous dormons chez un proche de Gaëtan, et nous retrouvons ce même jour Nico de Bordeaux, avec qui nous avons eu une visite guidée de Bordeaux mémorable ! Merci à toi Nico ! Et merci à Gaëtan pour la semaine passée !
Voilà, ici se termine cette balade.
À toute ! Vive le mono !!
Ici mono 
Bravo à tous les 2,
et merci de partager tes aventures !!
Coucou voilà une balade bien sympathique pour terminer l’été.
Parti à Betton à 8h10, pour finir avant 19h30 à Vannes.
J’ai été reçu à l’arrivée par une gentille dame me conseillant de prendre un petit bac pour passer de Conleau à Séné, j’ai parlé pas mal de temps avec elle et je lui ai offert un café pour la remercier de la super guide qu’elle a été. Superbe jusqu’au bout j’ai même eu le droit à une visite privé de son école de poterie ! Cette journée géniale se termine dans le train en gare de Vannes.
Tchouss à bientôt !
Et la
Ici
Ici encore
Hello rms, voilà ma dernière virée à Lyon :
24h de l’insa à Lyon :
Participation cette année aux 24h de la Doua,
Un week-end tant attendu mais si difficile par moments.
Nous avons pris le départ Aurélien et moi à monocycle sur la ligne au milieu des vélos, les premiers 150 km était plutôt faciles à passer avec cet axe à vitesse monté sur mon 29 pouces, au delà ça a été bien plus difficile que je ne l’imaginais de faire la performance avec cet axe à vitesse, qui permet de faire de belles pointes de vitesse mais qui est gros consommateur d’énergie. Je maintenais une « belle » cadence moyenne de 21km/h pendant les premiers 150km, au delà ça a été bien plus difficile.
J’ai subi une casse de rayon, encore une.. on me fait remarquer que la jante était fissurée et s’apprêtait à s’ouvrir à certains endroits au niveau des trous de têtes de rayons (merci Guillaume sans qui j’aurais pu me faire mal), on change le rayon (heureusement j’avais prévu) puis un autre casse un peu plus tard, Guillaume place des repères collants pour s’assurer que les fissures ne s’agrandissent pas, j’ai été dès ce problème révélé mis à mal pour être confiant et à l’aise pour rouler de peur de voir la jante éclater, au risque de me blesser et de mettre fin à la course. merci à Max qui a été super en apportant un mono de secours qui n’a pas servi ouf ! Mais un énorme merci quand même, merci d’être venu nous voir surtout c’était super de t’avoir à nos côtés !!
J’ai continué à rouler toute la nuit sans voir de rayons casser. C’est 3h avant la fin de la course sous le soleil qu’un dernier rayon sautât, fut vite remplacé sans aucunes incidence par la suite, quelle chance !
Résultat = un nouveau record quand même, une jante à la poubelle et des dents pas cassées 
Le problème est certainement dû à la mauvaise sélection de la jante, trop fine et trop légère, et probablement mon rayonnage un peu hasardeux ou trop serré qui n’a rien arrangé.
Les arrêts on été plus fréquents au delà des 150km, c’était très difficile, mon objectif avait été d’éviter de dormir, aux alentours de 7h du matin je n’ai pas su renoncer et j’ai finalement dormi 20 minutes. Avec la fatigue s’accumulant, la charge mentale de savoir que la jante était fragilisée, ma vitesse moyenne était en baisse, une partie du circuit était pour moi très difficile, le faux plat et la route en mauvaise état devenait un vrai défi à chaque relance en sortie de virages.
Pour ne rien arranger sur les derniers 50km, mon guidon qui me sert de repose-mains et de support de frein se desserre, montage un peu artisanal, une démotivation à tout démonter car quand t’a fais plus de 200km t’a plus envie de bricoler… tout en continuant à rouler mais moins vite encore, j’ai mis du temps à trouver une solution pour resserrer mais j’ai fini par trouver. Ça me redonné de le patate de voir que les rayons ne cassaient plus, de voir que j’avais récupéré du confort et de l’assurance en ayant resserré correctement ce guidon.
La belle météo m’a aussi beaucoup aidé à finaliser la course et à récupérer un peu d’énergie.
Cette aventure m’a fait pédaler plus de 17h, soit 45 minutes de plus que l’an passé, j’ai parcouru plus de 20km de plus que l’an passé. Mais avant tout j’ai passé un super moment, souvent sur le circuit à tourner en compagnie de cyclistes qui restaient à ma hauteur pour me parler parfois sur plusieurs tours, merci à eux, Franck et Zadig plus particulièrement.
Merci à Guillaume sans qui, comme l’an passé ce record n’aurait pas été possible pour moi et en tout cas pas dans de si belles conditions.
Merci et bravo à Aurélien qui a fait très fort avec le même axe à vitesse mais là jai pas réussi à suivre 
bravo ça me donne envie de réessayer !
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Pouah, quelle perf !! Impressionnant, Adrien, toutes mes félicitations !
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Coucou ! Je viens de découvrir le sujet. Je trouve ça impressionnant toutes ces performances avant les 24h de l’INSA avec un mono de 29" sans Schlumph. Réussir à maintenir une allure aussi élevée même avec des manivelles inférieures à 100mm et sur d’aussi longues distances, c’est tout sauf simple. C’est inspirant pour aussi faire de plus longues balades de mon côté (mon max ça doit être 25km pour l’instant avec le 29" 127mm du club) 
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N’hésite surtout pas à t’inscrire au marathon à la CFM alors, car tu exploseras ton record sans problème 
Conseil : utilise du matos avec lequel tu es à l’aise, 127 si tu n’as pas tenté moins, 110 si tu as le temps de faire au moins 3 sorties avec cette longueur avant.
@adrien35 tu roulais pas avec ton tout nouveau tout beau Schlumpf sur les 24h ?
Ah j’avais pas prêté attention à ce détail indiqué pardon. Si bien sûr j’étais avec le 29S. J’espère faire plus fort la prochaine fois d’ailleurs. L’an dernier sans axe Schlumpf j’ai fais 303km sur mon 36 j’aurais aimé creuser un peu plus l’écart même si c’est déjà beaucoup…
Pour clarifier car c’est vrai que j’ai pas donné beaucoup de détails technique, cette année j’étais en 29 Schlumpf, en manivelle de 117.
Je peux rouler sans soucis en 29" 110 en sachant que Adri m’avait prêté son mono il y a 1 an, ça se fait bien ^^
Et ok je rajoute le marathon alors mais je le ferai JAMAIS en 20" ou 24" xD
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je m’étais inscrit au marathon en 24”, du coup j’ai dû le faire jusqu’au bout 
