Bonzoir ! 
Nous étions cinq : Baptiste, Antoine, Guillaume, Rémy, et moi. Plus un trialiste en machin diabolique à deux roues. 
Le rendez-vous était fixé à 14h. Petit (sauf pour Baptiste, bien-sûr, qui commençait déjà à faire l’idiot dans les escaliers…
) échauffement d’une demi-heure le temps que tout le monde arrive, et on était partis ! Visite rapide du quartier : canards à foison dans les étangs ! J’adore les canards ! 
On arrive sur la première zone, “la Vague”, malheureusement une roue trop tard : des “parcouriens” (je ne sais point comment les nommer
) arrivaient eux aussi, envahissant l’endroit. Ils nous demandent si on connaît Maxime Cabot, notre cher président acquiesce, ces gens nous disent que c’est leur pote, tralala tout le monde est content, et s’en va.
On se réfugie alors sur la Grand’ Place, où le trialiste en machin diabolique à deux roues nous a rejoins. Trial, trial, et re-trial ! Discussions sur les rêves bizarroïdes et autres sujets croustillants. Petite séquence mécanique, Rémy nous dit avec conviction qu’on peut casser ses pédales, ses rayons, ses roulements, son tube de selle et tout ce que voulez, mais casser un cadre, ça, JA-MAIS !
La session continue, on mange (après maintes et maintes demandes à Antoine quant à l’heure du goûter !
), cookies et Crunch (merci Guillaume !
), et Antoine entretient son glide (Fabien, t’as toutes tes chances !
) !
Après avoir retrouvé le chien, Baptiste et Rémy ont vu une merveilleuse idée naître dans leurs esprits : passer un escalier en descente et en montée en 90 !
Ils se débrouillent pas mal, vraiment bien même, puisqu’ils ont passé l’épreuve avec succès ! 
Et là, paf, coup de théâtre !!! La théorie de Rémy sur les cadres incassables tombe à l’eau !
Baptiste vient de casser le sien !
Mais, une belle fissure, hein !
On change de zone et arrivons à la Vague : les parcouriens sont partis. Re-mono, re-trial, bien-sûr, et un magnifique balance-man d’Antoine ! Mais aussi observation des carpes, pêchage de morceaux de pain, toboggan sur la vague de métal, et autres absurdités.
On change encore d’endroit, et acharnement sur des escaliers. Là, je suis partie.